C'est vendredi, c'est le Bordel #462

... Bien le bonjour messieurs dames après la semaine dernière où le Bordel manqua de matière pour dignement se représenter devant vous. Parfois, ça arrive et n'allez pas croire qu'ici, dans cette maison respectable bien que de tolérance on songe un seul instant à vous proposer un Bordel au rabais. On a des principes et on s'y tient. Bref, le Bordel est de retour cette semaine avec une sélection d'images vues çà et là dans la semaine, remisées par devers moi dans un petit dossier et reversées ici avec une sauce Nantua (y'avait plus de Gribiche) de mots pour accompagner le tout. Et je vous invite dès à présent, sans trop vous presser à rejoindre l'univers lilliputien de Tatsuya Tanaka (à retrouver ici sur Instagram Tu veux Tsuya ? Tatsuya.) qui crée de petites tranches de vie incroyablement créatives que je vous pose là, juste ci-dessous.

Depuis sept ans, il fait régulièrement de nouvelles scènes à partir d'éléments du quotidien et c'est incroyablement réussi à chaque fois. Quel talent. Quelle patience.

J'ai découvert cette semaine le très beau travail de Joop Polder qui, comme son nom l'indique, vient du pays plat situé après le Plat Pays alors qu'on aurait pu penser un instant qu'il était peut-être paraguayen ou nigérian mais en fait, non, pas du tout.

Et comme je suis tombé sur une jolie sélection du talent d'Uwe Ommer, immense photographe dont la carrière s'étire sur des décennies, je les partage avec vous et j'en profite pour saluer Morgan, son fils (on était à l'école ensemble), s'il lit toujours les lignes de ce blog en direct de Hong Kong.

Ajoutons à tout ça les mimines de Miles Davis par Irving Penn en 1986, un David Byrne en Mike Hammer par George Hurrel la même année et des crobards originaux de Guillaume Apollinaire parce que ça me fait plaisir, parce que c'est vous, parce que c'est moi et parce qu'ici, c'est un peu mon blog et que j'y fais ce que je veux.

Comme par exemple, mettre à la suite d'Apollinaire des images aériennes de Stonehenge prises d'un ballon par le lieutenant Philip Henry Sharpe en 1906, je me souviens, c'était un mardi, on mangeait du haggis et ils ont chargé, les Bobbies. Une sale histoire mais les pierres ont tenu bon.

Revenons dans la mère patrie où Brassaï a écumé des preuves de son immense talent que je partage avec vous, donc ci-dessous car si je les partageais au-dessus là où il y a Stonehenge, ce serait vraiment trop le bordel.

Comme il reste encore de la route à faire dans ce Bordel, je vous propose de vous installer dans ce somptueux et rare break Riviera de 1971 sur base de Peugeot 504 développé en 1971 par Pininfarina Geneva Motor Sport. Voir ici pour l'histoire du seul break de chasse et de luxe de Peugeot 504 Riviera.

Sinon, vous avez d'autres options. Vous pouvez monter en selle avec Mandy, Mandy, les gens du blog, les gens du blog, Mandy, enfiler un Tuxedo et monter avec Mathilda, Mathilda, les gens du blog, les gens du blog, Mathilda ou enfin, prendre la route avec Gibson et Gibson qui sont un peu comme les Simon & Simon (Rick et A.J) ou les Hart & Hart (Jonathan et Jennifer) mais en pas tout à fait pareil.

Et puis si ça ne vous plaît pas, voyez ça avec Jason. Jason, les gens du bl... ah ok, tu te fous de leurs noms, tu veux juste la tête.

Nous sommes attendus chez Mila Kunis et Atch... Ashn... Ashton Kush... Knut... Kutcher dans leur magnifique grange subliment remaniée aux portes de Los Angeles alors ce serait bien de ne pas trop tarder sinon on va manquer le Happy Hour.

Et vroum, en un clin d'œil, nous nous retrouvons sur la côte est des USA puisque nous sommes avec Amy Arbus et quelques amis dont une jeunette qui ira loin pour nous présenter le New York City Street Style du début des années 80.

Attention, petite section de niveau difficile dans ce Bordel, Kelly McGillis s'est cachée quelque part dans ces trois images de femmes au maximum de leur féminité : sauras-tu la retrouver ? Un bordel gratuit la semaine prochaine pour le ou la gagnante.

Qu'avons-nous encore ? Mais Loretta Young et Marlene Dietrich en 1934, Ingrid Bergman par David Seymour en 1952 et une Debbie Harry très amoureuse de sa guitare, une chanceuse guitare s'il en est et il en est puisqu'on vous dit qu'il en est. Non mais.

Rajoutons encore ce design mural de toute beauté de Liam Gillick en 1998, un arbre foudroyé bien comme il faut issu du livre Physiography for high schools de 1911 pas facilement disponible sur Amazon et un joli voilage car on ne pense pas assez souvent aux voilages, trop aux rideaux alors que parfois, ça peut être très joli, un voilage.

Et puis si vous avez des commentaires, voyez ça avec Jean-Pierre. il est tout ouïe. Oui, comment ? Non, rien Jean-Pierre, tout va bien.

Tout de même, il serait illogique qu'ici au Bordel, on ne puisse accueillir quelques donzelles alors Emilia Clarke s'est invitée et franchement, on n'allait pas à la laisser à la porte avec ce froid glacial actuellement, surtout dans cette tenue légère. On a un cœur au Bordel.

Et comme elle est venue avec sa copine Ana de Armas qui elle aussi avait oublié de prendre une écharpe et une doudoune, on leur a fait un prix de groupe cause qu'on n'est pas des sauvages.

Vite, passons à de l'art avec César Domela, Composition, de 1945, Koshiro Onchi My Death Mask de 1954, Pablo Siquier, 8806, de 1988), Raymond Jonson, Oil No. 10, de 1946 et un peu de Renato Guttuso avec Tre Operai e Una Prostituta, d'avant 1987 puisque depuis, il est occis.

Et un Bordel du Vendredi perdrait un peu de sa substantifique moelle s'il ne se concluait pas par des Messages à Caractères Informatifs de haute importance ou de moyenne importance ou totalement sans importance mais essentiels malgré tout.

Et c'est tout pour aujourd'hui sauf si vous voulez faire grossir l'armée des amateurs du Bordel du Vendredi en partageant ce bordel frais du jour avec vos amis par le biais des canaux habituels (Twitter, Facebook, Insta ou autre). Merci de votre fidélité au Bordel, n'hésitez pas à suivre Après La Pub sur Facebook ici Après La Pub sur Facebook et sur ce, bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine.