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C'est vendredi, c'est le bordel #468

... Salutations chères toutes et chers tous, non-genrés et j'en oublie. Il semblerait que nous soyons encore là les uns et les autres alors profitons-en tant qu'il est encore temps en vous proposant un bon petit Bordel du vendredi des familles. Et comme nous avons tous et toutes besoin de nous aérer la tête en ce moment, auuutant prendre un booon bol d'aiiiiir pur avec des aaamis heeelvètes propriétaires (pas à la mer, c'est pas Férinel) à Balstha en Suisse autour de cette splendide maison magnifiquement architecturée par Pascal Flammer qui est un architekten Swiss Kalitat eud' là-bas Pascal Flammer.

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S'il advenait que vous soyez tout à fait réfractaires à l'air des alpages, le Bordel du Vendredi dans sa grande mansuétude a pensé à vous et vous propose de vous rendre au plat pays qui est à moitié le mien puisque je descends de Michael Schillinx alias Michael Gilissen alias Dorits, propriétaire de bar louche à Bocholt en 1746. Au nord de ce plat pays admirablement narré en images par le fantastique Harry Gruyaert dans les années 1970 - 1980.

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Après, vous pouvez trouver ça un peu plat alors toute l'équipe technique et moi-même vous proposons d'aller dans le Connecticut, à Provincetown même, où à la même époque qu'Harry, Nick Dewolf entreprenait le même travail ethnographico-photographique avec une prédilection certaine pour les donzelles du cru.

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Il a même remis ça juste à côté à Cambridge, cette fois ci dans le Mcha... le Mas.. le Massachusetts, bref, l'état préféré des frères Gibbs. N'ayant pas eu le temps de faire de recherches approfondies, il est possible que Nick Dewolf soit en fait un serial-killer qui faisait des repérages pour trouver ses victimes mais laissons le doute planer tel un Soukhoï SU-27 au-dessus de Kiev. Ou Kyiv mais bon, c'est pas le moment de s'étriper sur de la graphie.

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Si vous êtes plus urbain, et c'est bien d'être urbain dans la vie, il est possible que cette série dans le New-York des années 1971 à 1981 par Helen Levitt vous seye plus. Et si ça vous va, nous au Bordel du vendredi, ça nous va aussi. Être urbain est notre turbin.

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En ces temps troubles qui sentent pas bon, je vous propose de voire un coup tranquilou avec Janis Joplin et franchement, ça ne peut pas faire de mal, n'est-ce paaaahiiiiiaaahiiiiiiiaaa baby ?

C'est vendredi, c'est le bordel #468
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Ajoutons du beau au moche eud' partout avec ces incroyables broderies d'un créateur nommé Tran Hung mais comme je n'y connais rien en mode et que j'ai eu la flemme d'approfondir, je vous laisse chercher si ça vous intéresse.

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Concernant la situation internationale, ne vous inquiétez pas. L'équipe du Bordel du Vendredi a tout prévu pour garder le contrôle : à gauche un sherif de New Mexico pour garder la frontière, au milieu en otage le Tsar Nicolas II et ses cousins, le Prince Nicolas de Grèce et le Grand Duc Boris Vladimirovich et à droite, un gendarme prussien en ski dans les Vosges. Comme ça, on est bien, on est forts, on est parés.

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Comme disait l'autre "Si tu veux la paix, prépare la guerre en subtilisant l'arme de ton adversaire pour que ça aille plus vite vers l'armistice". D'où ce Soviet Tokarvev TT-33 semi automatique de 1937 admirablement subtilisé aux belligérants par toute l'équipe technique en mode commando Ninja, hop, tu me vois, hop, tu me vois pas.

C'est vendredi, c'est le bordel #468
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Bon, là, j'avais demandé à l'équipe technique de me trouver des bambous mais avec leur opération sur le front et le commerce mondial qui part en couille, on a dû remplacer au dernier moment par des bouteilles de bière trouvées par Meat Loaf pour que Debbie Harry puisse taper sur quelque chose afin de devenir numéro 1 malgré tous ces tragiques événements. J'espère que ça vous fait plaisir et ce, même si Gene est là. Quant à Stephen King, qui s'y connaît en horreur, il a un message à faire passer alors n'hésitez pas à le relayer en piquant honteusement cette image pour la partager où vous voulez.

C'est vendredi, c'est le bordel #468
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Allez, changeons-nous un peu les idées et allons boire un coup au TikTok avec Helen Mirren et la magnifique Katherine Cassidy et si vous n'êtes pas trop alcool, suivez ces Amish amis dans le dispensaire d'à côté et roulez-vous en un bon avant de repartir en carriole retrouver vos 17 femmes et 142 enfants. 

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Un seul être vous manque et tout est dépeuplé : mais bordel à cul de pompe à merde, où est donc passée Tank Girl au moment où on aurait bien besoin d'elle, bordel ? Franchement. Elle nous arrangerait la situation en deux, trois mouvements de tourelle devant le Kremlin et hop, réglé.

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Si vous adhérez au retour de Tank Girl pour mettre un coup de balai dans tout ce merdier, merci de signer la pétition auprès de Yolanda dès qu'elle a terminé sa pause clope syndicale (image par Stanley Kubrick en 1949 à l'Université du Michigan).

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Dans l'ignoble, ajoutons du noble avec l'art que pratique ce magnifique boxeur par Victor Guidalevitch en 1930, détendons-nous enfin faisant tilter le flipper (jeune, si tu ne comprends rien à cette phrase, c'est normal) à  l'Alpine Tavern en 1977 par James Cloutier et réjouissons-nous avec ces Bataves célébrant la fin prochaine des hostilités en entendant à la radio la nouvelle du suicide d'un certain Adolf H dans son bunker. Une tradition qu'il serait souhaitable de remettre au goût du jour aux alentours de la Place Rouge, si vous voulez mon avis. 

C'est vendredi, c'est le bordel #468
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On respire, on se pose le séant dans cette magnifique limousine qui vous attend sous Kermit et on file vers la suite du Bordel en sirotant du White Russian, du Bloody Mary ou du pineau des Charentes 25 ans d'âge.

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Reprenons un peu de hauteur avec l'extraordinaire Bessie Coleman, première femme noire pilote d'avion dans les années 20, rajoutons des rayons X du premier casque universel de la NASA, le A4-H de 1964 et une splendide Main solarisée de 1934 par Maurice Tabard parce que, jusqu'à preuve du contraire et l'arrivée triomphante de l'Armée Rouge, ici c'est mon blog, Tovaritch, et j'y fais ce que je veux.

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On me reproche parfois de privilégier les donzelles au détriment des damoiseaux et c'est vrai parce que voyez-vous, on ne se refait pas la cinquantaine passée. Mais pour vous, mesdames ou vous aussi messieurs, je vous propose trois sourires de Cary Grant qui est un peu l'homme le plus classe du monde depuis le décès de George, aaaah Monde de merde, Abitbol. 

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Et je vous rajoute même les minois charmants de Rory Calhoun et Guy Madison dans La rivière des massacres, film pas inoubliable mais très gay friendly de 1949 réalisé par John Rawlins.

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Et il reste un mec à la cool d'une coolitude tout de même assez cool, alors je vous le rajoute.

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Non parce qu'il ne faut pas confondre les mecs à la cool et les mecs à la cool enculeurs de mamans qui ne sont pas à ranger dans la même catégorie.

Mais bon, les mecs, ça suffit et cette semaine, Jinx (oui, tout à fait) Falkenburg a tenu à m'accompagner au Bordel et comprenez bien que c'était une offre difficile à refuser. Jinx, les amis du blog, les amis du blog, Jinx sur Wikipedia.

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Et comme à ce niveau-ci aussi du Bordel du vendredi, c'est un peu mon blog, vacances j'oublie tout et je plonge dans les yeux d'Eva Green et je vous laisse profiter de la générosité de Meg Myles, de Valérie Perrine, d'un soutien-gorge mortel et d'une gorge sensuelle et sans soutien.

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Vite, passons à de l'art pour ne voir à nouveau que du beau avec Jesus Perea, Abstract composition 996 de 2017, Barrett Newman, Canto IV from 18 Cantos de 1963, Alex Katz, Untitled, 1998, Clarence Gagnon, The Train in Winter, entre 1913 et 1914 et un impressionnant Gerhard Richter, Musa de 2009.

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Ajoutons ce somptueux et délicat auto-portrait d'Ellyn Thesleff (1869 -1954), peintre expressionniste finlandaise, un régime de bananes de Man Ray en 1948 pour les vitamines, du Franz Kline dont j'ai bêtement oublié de noter le nom, du Lucio Fontana, Spatial Concept Series vers 1960 et une Terre bleue comme une orange mais en bleu. En bleu Klein et en 1957. 

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Et il est l'heure de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs que vous pouvez piquer tel Eric Zemmour et ses emplettes au Grand Marché sans que vous ayez besoin d'envoyer un sbire pour venir payer ensuite. Ici, c'est gratuit.

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Et c'st tout pour aujourd'hui sauf si vous avez la gentillesse de partager ce Bordel du Vendredi n°468 eu égard aux efforts de l'équipe technique au fond de la cave pour vous concocter une parenthèse sympathique dans cette époque, euh, trouble (pas rouble, pas encore). Vous pouvez aussi suivre ce blog sur Facebook ici Après La Pub sur Facebook pour ne rien rater ou vous abonner directement à Après La Pub en mettant votre mail dans la case Newsletter tout en haut (rescroll, rescroll, rescroll). En attendant, c'est pas tout mais on a des tranchées à creuser, des sacs de sable à transporter et des systèmes anti-missiles à installer alors ne tardons pas. Bon vendredi, bon week-end et à la semaine prochaine si tout va bien jusque là.

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