28 Novembre 2012
... Alors c'est-à-dire que j'avais prévu un truc énorme avec orchestre géant de mariachis, danseuses de french-cancan aux mœurs légères et feu d'artifice indécent avec les noms de toutes mes lectrices et tous mes lecteurs depuis 1460 jours en lettres de feu dans le ciel étoilé et ça se serait terminé dans un joyeux bordel et une bacchanale digne des plus grande heures de Lucrèce Borgia avec en plus du Led Zep en fond sonore et des canapés profonds et du pâté pour tous. Mais ça, c'était avant. Avant qu'aux alentours de 17h, la rallonge électrique dont nous nous servons à la SHAG ne se mette à émettre des petits kritchh et des schkrikkk étranges avant de se mettre à fumer. Avant que d'un coup, l'écran de mon vieux Macbook Pro de 1998 ne se fige instantanément sur une jolie mosaïque à tendance bleutée encore jamais vue avec un message d'alerte que même à Fukushima, on n'en a pas des aussi inquiétants que ça. Avant que je ne perde en une micro-seconde 6 ans de ma vie virtuelle, mes boulots, mes textes en devenir, mes images et tous les messages que vous m'aviez adressé pour fêter ces quatre années de fidélité. Alors merci pour toutes vos contributions, vos mots doux que je ne pourrai présenter aujourd'hui et pour me faire excuser, je vous offre un peu de gâteau.
En attendant, vous pouvez toujours aller faire un tour au Bordel : Le Bordel du Vendredi
Découvrir de magnifiques artistes : Vite, de l'art !
Lire du western de petite taille : La vie est un Western
Ou découvrir plus en avant la galerie SHAG dont je suis co-gérant avec mon ami Guillaume Gamain SHAG ou encore plein d'autres choses dans L'actu qui tue et dans À part ça et dans Hit Marades et aussi dans La Mort en Amérique, l'intégrale et dans SAS à Lintas et dans L'interview à la Con et dans Le Saviez-Vous ? et dans Le Mondial en 10 lignes. et dans Tonton B., ce qui fait au final dans 1530 articles en 4 ans. Mais quand même, grrrrrrrrr, c'est pas de chance tout de même. Si vous avez des amis chez Apple qui voudraient sponsoriser un vieux blogueur, je prends. À un de ces jours, si les choses s'améliorent, ce qui n'est pas encore gagné.