4 Octobre 2012
... Mais oui, c'est vendredi une fois de plus et vous me direz, c'est tant mieux. Car tant que les vendredis tombent un vendredi et qu'en plus, on s'en rend compte, c'est qu'on a toute sa tête et que donc, on est toujours là. C'est vendredi, c'est le bordel and it's aliiiive comme d'aucuns disaient dans La Créature du Marais, film de Wes Craven de 1982 avec Louis Jourdan dedans à ne pas confondre avec La Créature du Lagon Noir par Jack Arnold en 1954, sans Louis Jourdan dedans mais avec Whit Bissell qui inventera quelques années plus tard le cadet du même nom qui fera sa fortune. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que le bordel lui aussi est bien vivant quand on jette un œil (en n'oubliant pas de le reprendre ensuite pour ne pas salir) sur les actus de la semaine avec le championnat du monde d'insultes et de disputes en breton (en patois "Kampionad ar ben kunujennhou ha poulhiou) qui se tient ce vendredi même à Lannion dans les Côtes d'Armor, le prince Charles qui hérite de 688 000 euros de personnes décédées n'ayant pas d'héritiers dans son duché de Cornouailles en vertu d'une loi remontant au Moyen-Âge, la "Bona Vacancia" qui définit que les biens non réclamés tombent direct dans l'escarcelle du duché. Comme s'il en avait besoin le Charlie (et moi et moi et moi?). Et sans parler des Karabetclic, pardon Karabatic, de Zlatan qui n'a pas Zlatané grand-chose mercredi, du Mondial de l'Automobile dont je me contrebalance vigoureusement et de Christine Boutin qui veut sa thune de l'UMP rapport au fait qu'on s'était arrangés et que si je me retirais, vous me faisiez un petit chèque. Bref, un beau bordel qui va se poursuivre jusqu'ici avec une accumulation d'images trouvées ça et là pendant la semaine, remisées dans une chaussette de laine vu le temps polaire et dégluties ici pour votre plus grand plaisir avec pour commencer cet extraordinaire Tlazolteotl 2000 qui fait non seulement la mayonnaise mais aussi le couscous, la brosse à reluire, les poussières et le bonheur de votre femme si vous en avez une à contenter.
Enchaînons avec ce superbe mug pour séparer le blanc du jaune des œufs mais avec style. Et principalement les narines, ce bonnet goofy style pour l'hiver qui s'annonce dur, ce kit téléphonique fort sympathique au demeurant et au crochet. Du point de croix, je crois.
Prélassons-nous sur ce fauteuil de toute beauté avant de prendre crânement la porte et de préparer des glaçons pas cons avec de l'huile d'olive et des herbes fraîches de l'été pour les décongeler tout au long de l'année à satiété.
Je rajoute un joli coussin aux codes d'Après La Pub pour poursuivre moelleusement, un petit lunch-box pour la route de La Créature du Lagon Noir dont auquel je vous faisais part au début de cet article c'est fou comme le monde est petit et nous allons poursuivre vers de nouveaux horizons comme cet astucieux ouvre-bouteille de sauvetage pour les moments où vous n'avez donc pas d'ouvre-bouteille et que vous avez une bouteille à ouvrir.
À part ça, je peux vous offrir un sweat-shirt mauve de Lindsay Lohan mais ne me dites pas merci, c'est pour moi, un tour en caisse qui dépote, un haricot rouleur de nationalité anglo-saxonne, un tatouage en hommage à Thomas Knoll, Seetharaman Narayanan, Andrew Coven, Julie Kmoch, Scott Byer, Russel Williams, Marc Pawliger, David Howe, Christopher Haupt, Julie Meridian, Joe Ault, Christopher Bailey, Vinod Balakrishnan, Ralf Berger, Jeff Chien (wouf), Jon Clauson, Michael Clifton, Chris Cox, Alan Erickson, Pete Falco (Der Komissar), Paul Ferguson, Todor Georgiev, Jerry Harris, Chintan Intwala (wiens ici), Edward Kandrot, Sarah Kong (putaing), Darin Krauss, Aravind Krishnaswamy, Tai Luxon, Mar McGuire, John Penn II (à ne pas confondre avec Sean Penn I), John Peterson, Tom Pinkerton, Dave Polaschek, Tom Ruark, Geoff Scott (un Bon), Steve Troppoli (qui doit être moche), John Worthington, Tim Wright, Rick Wulff, Jackie Lincoln-Owyang, Yukie Takahashi, Barry Young, Kelly Davis, Lisa King, John Nack, Ashley Still, Pam Clark, Maria Yap, Kevin Connor (pas Sarah, pas taper), Bettinal Zengel, Heather Dolan, Melissa Gaul (du matin), Michael Salinero, Jonathan Lo (Fi), Matthew Shafer (fonfier), Miki Maiko (entra dans la jeune indigène comme dans une motte de beurre), Rose Lu, Pushpa (mamie dans les orties) Saraf et n'oublions pas aussi Naoko Suzuki.
Sinon, on a enfin trouvé une place utile à Jésus, depuis, il fait des étincelles et un nouveau job pour la Fée Clochette. Ca, c'est chouette. Oui, je crois que les fées existent, j'y crois, j'y crois.
Après tout ceci, je peux vous proposer un Stanley Kubrick qui a encore perdu ses mains, mais bordel où sont-elles, un Stanley Kubrick qui en a retrouvé une, dingue, au bout de son bras juste là, un Stanley Kubrick invisible mais son chat le trahit, un Stanley Kubrick qui se prépare pour Napoléon mais il est trop gras, la chatte à Stanley Kubrick car personne ne le sait mais il était transsexuel et le genou de Stanley Kubrick dans ta face de chacal puant si t'es pas content(e). Et tout ça pour le même prix.
Et pis si ça ne vous va pas, vous n'avez qu'à aller au coin. Fort joli d'ailleurs.
Passons à un What the Fuck pakistanais ou sri-lankais ou éventuellement indien mais de qualité.
Une photo que Cheyenne Schiavone (voir ici link) n'aurait pas renié.
J'ai encore en stock un pape face à un dieu vivant, une mamie très bien conservée et huit hommes dont un Hamme pour satisfaire mes lectrices en manque de virilité.
Mais ces messieurs ne seront pas en reste avec un joli cul nu, un joli cul pas pas nu, une Jennifer Connely que je connaîtrai bien bibliquement parlant, une Milla qui danse le mia et des demoiselles bien rétro pour vous introduire à la série de la semaine car je suis tombé sur un nid de bunnies, je ne vous dis que ça. Des brunes, des rousses, des châtain, des blondes, des bunnies de partout et tout ça, c'est bunny blanc et blanc bunny.
Ah ben non, c'est pas une bunny, ça.
Ah là, ça va.
De la Bunny de qualité, sérieuse, travailleuse.
De la Bunny qui ne vous plante jamais. En bref, pas de bugs, Bunny.
De la Bunny oui oui.
De la Bunny d'en bas en collants.
De la Bunny de l'année pas née de la dernière pluie.
De la Bunny en extension. Mouvement parfaitement réalisé.
De la Bunny en file indienne.
Ah, erreur. C'est pas des originales, ça. De la pâle copie Taïwanaise. Ou Tchadienne.
Alors que là, oui.
De la Bunny country (rare).
De la drôle de Bunny. À Charlie.
De la Bunny de bord de mer.
De la Bunny blonde moderne.
De la Bunny retro Vintage limite MILF.
De la Bunny classique style.
De la Bunny benêt pas capable de trouver sa queue.
Des Bunnies circonspectes. Pour le moins.
De la Bunny qui donne la baballe.
De la Bunny qui tient des murs. Des fois que.
De la Bunny totalement arghissime limite yarglaaa au niveau du sourire ravageur.
De la Bunny abonnée.
De la Bunny à bonnets. C ou D à vue d'œil.
De la Bunny qui écrit (rare aussi).
De la Bunny les petits (compliquée celle-là).
Et des Bunnys de dos.
Et là, c'est le... comment déjà ?
Ah oui, c'est le pompon.
Mais faisons fi des Bunnies et passons à un peu d'art avec cette sublime œuvre d'Ernst Ludwig Kirchner intitulée "Staffelalp by moonlight" de 1918 qui me fait chavirer si tant est que je me transforme d'ici peu en bateau.
Tout comme ce Juan Gris de la même année (assurément un millésime de qualité).
Cette sculpture admirable de Malvina Hoffman : "The Offering", 1920.
Un nu solarisé de Maurice Tabard de 1935. Enfin, pas lui. Enfin, voilà.
Un peu de Linus Bill qui a fait l'école Boule. Ou pas.
Et pour finir, "Bent twice" de Steven Parrino en 1991.
Et c'est l'heure, n'est-il pas ? Oui, c'est l'heure des célèbres Messages à Caractères Informatifs qui n'ont parfois d'informatifs que le nom mais parfois non. Mais des fois oui aussi.
Chantal Goya à 18 ans.
Viendez tous. Il y aura du Akinao Saito, du Anna Picco, du Antoine Mathon, du Cheyenne Schiavone (peut-être), du Claire Dorn (ça, c'est certain), du Emeline (avec un peu de chance), du Emmanuel Colombani, du François Réau, du G-Zus, du Josias Scharf, du Leon Steele, du Lisa Scheer, du Olivier Ratsi, du Olivier Rouault, du Romain de Souza, du Phedia Mazuc tout nouveau, du Rohan Graeffly, du Sandrine Estrade Boulet, du Stephan Gladieu et comme écrit ci-dessus, du pâté, du saucisson et des cornichons. Si vous voulez amener une bouteille, vous pouvez. Et c'est à la galerie SHAG, 26, rue Mahias à Boulogne, galerie qui sera ouverte dès 11h mais pour La Nuit Blanche, ça commence à partir de 18h et au moins jusqu'à minuit.
Voilà, c'est tout. Générique.
Merci d'utiliser le petit bouton "J'aime" situé ci-dessous pour partager ce Bordel avec vos ami(e)s sur Facebook en likant autant que des zombies trouvant une école maternelle bondée. Vous pouvez aussi Twitter ce bordel, il adore ça être twitté avec des hashtags du style #CVCB pour "C'est vendredi, c'est le bordel" ou #BordelDuVendredi ou sobrement #Vendredi et #Bordel130 si vous voulez faire sobre. Mais tout ceci, si et seulement si vous apprécié ce bordel. Sinon, non.
Pour le reste, vous pouvez vous abonner pour ne rien manquer d'Après La Pub jour après jour ou sinon, j'ai un reliquat des articles de la semaine sous la main, une semaine artistique avec Phedia Mazuc dans Tous les chemins mènent à Toulouse. et Babis Cloud dans Trojan Horse et les fantastiques plaques d'égout japonaises dans Plaques de goût et un peu de nostalgie avec H2o et c'est vraiment tout pour aujourd"hui.
Noui ?
Retrouvez tous les Bordels du Vendredi precisely around here : Le Bordel du Vendredi
Et merci de voter ici aussi pour Après La Pub.