Original Barbie girl

... Si les voies du Seigneur sont aussi impénétrables qu'une pensée moyenne de Nadine Morano à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, les voies de l'esprit le sont tout autant car alors, comment expliquer que seul dans ma galerie à écouter du Baxter Dury à un volume non négligeable en attendant le chaland qui sort somme toute assez peu sous la pluie, comment expliquer que j'ai soudain pensé à Barbie Benton ? La sublime playmate de la toute fin des années 60, l'égérie et compagne de nombreuses années d'Hugh Heffner m'a sauté devant les yeux en un flash, un instant sans que j'eus fait quoi que ce soit pour l'appeler à mon bon souvenir. Mais Barbie it will be en ce samedi pourri sur Après La Pub et ce serait dommage de se priver d'un plus désarmants sourires de toute l'histoire de l'humanité (pas le journal, le bordel dans lequel nous sommes tous fourrés jusqu'au cou). C'est donc parti pour Barbie. Ne vous plaignez pas, mon subconscient aurait pu m'envoyer Marie-Pierre Casey.