3 Mai 2012
... Oui, nous sommes vendredi et c'est bien le bordel et on peut le confirmer après le débat tout mou d'avant-hier, les 50 millions ou pas, Gaubert condamné (pas ou pas), un nouvel otage en Colombie, un "Cri" à 119 millions, des Australiens bourrés qui kidnappent des pingouins et toujours le Mali, la Birmanie et la Syrie, youkaïdi, le Nigéria et le Kenya, youkaïda et plein d'autres choses de par le monde. Et en plus, c'est probablement le dernier vendredi que nous passons ensemble au bordel avec Shark Ozzie (voir ici si vous ne connaissez pas encore La vie est un Western) comme président de la République Française à moins d'un énorme revirement de situation. Cher Nicolas, un petit mot : on s'est bien marré avec toi (des fois). Et parfois on a crié (de rage). Et parfois on a eu envie de t'étrangler (souvent) et parfois on a eu envie de te féliciter (pas souvent mais c'est arrivé aussi). Bref, comme le disait si bien la pub pour le Loto : "Au revoir Président". Et bonne chance au suivant, si suivant il y a. Quoi qu'il en soit, il y aura du boulot car c'est un beau bordel et pas que le vendredi. Alors commençons dès à présent car la route de la félicité va être longue et pleines d'embuches et autant être confortablement installé dans ce magnifique canapé tout en sobriété pour qui voudrait vivre désormais la Dolce Vita avec sa Carlita.
Si vous préférez les voyages dans l'espace, il existe d'autres options comme cette reproduction fidèle et gonflée du siège du Capitaine Kirk. Attention, on ne fume pas dedans sous peine de partir dans les airs en faisant un grand flllpprrrttffrrppprrtt ou quelque chose comme ça.
Evitez également ce genre de bague pour taper du poing sur le fauteuil. Pfrrruittttt assuré.
Sinon, vous avez l'option chaise de base mais chaise intelligente avec cet astucieux système pour se balancer sans se casser la margoulette. C'est joli "margoulette", on ne pense pas assez à l'employer.
Poursuivons par ce magnifique rasoir à pull à offrir à Anne Sinclair, amatrice de mohair s'il en est, ce taille-crayon à ne pas offrir à son mari qui pourrait avoir des idées d'utilisation fort peu judicieuses et j'en profite pour lui adresser un petit message personnel en ces derniers moments de campagne présidentielle : Putain, Dominique (nique nique), t'est vraiment con comme une bite, bordel ! Merci de nous avoir offert le plus mauvais candidat possible à ta place alors que tu es le seul qui avait les clés et qui m'a intéressé à la politique ces 5 dernières années. Bravo à toi.
Non, Dominique. Non, pas tailler.
Ce taille-crayon est disponible sur therabbithole.com. Hop hop, on se calme Dominique, on se calme.
Quoi d'autre ? Voyons, une platine USB de toute beauté (pas bien compris comment ça marche mais c'est très joli), un séchoir à linge saurien en diable et si vous voulez me faire un petit cadeau pour mon anniversaire jeudi prochain, j'ai besoin de vitamines en ce moment. Une cure d'orange me ferait beaucoup de bien.
Alors certes, vous me direz est-ce bien utile ? C'est bientôt la fin du monde. Les Rouges sont à notre porte. Ca va être la révolution, les spoliations, les nationalisations, le chaos, l'anarchie. Oui. Mais en Porsche orange, ça passe beaucoup mieux.
Et puis si vous n'êtes pas contents, vous n'aviez qu'à voter Cheminade aussi. Alors.
Ou lui : Pee Wee (à ne pas confondre avec Peewaï qui ne se touche pas dans les cinémas, du moins à ma connaissance mais après tout, on n'est jamais sûr de rien avec ces Toulousains).
Allez, remettons-nous de toutes ces émotions avec Vampira, a.k.a Maila Nurmi (de son vrai nom Malia Elisabeth Sirjäniemi), la nièce de Paavo Nurmi et mère de toutes les Elvira, Morticia, Gothika et consorts. Elle créa son personnage pour la télé dans "Movie Macabre" sur ABC à partir de 1954 et joua également dans "Plan 9 from Outer Space" d'Ed Wood après avoir été blacklistée pour ses opinions politiques et sa vie privée légèrement délurée. Et comme c'est mon blog ici et que je fais ce que je veux, hop, spécial Vampira. Ca vous fera les dents.
En blonde, avant Vampira, elle était pas mal aussi.
Vampira à la plage. Quelle taille.
Vampira à la pêche mais pas aux moules, moules, moules. Pas assez de sang.
Le lit à Vampira.
Vampira se prépare pour sortir en boite. De nuit, forcément.
Vampira fait du shopping pour trouver un peu de sang frais.
Vampira et une amie, toujours prête à lui donner un coup de main.
Ah, Vampira a oublié quelque chose. Mais quoi ? Le doute l'habite (alors qu'un rien l'habille).
Bon sang mais c'est bien sûr (© Raymond Soupleix), son rendez-vous chez le coiffeur !
Parfois, Vampira s'ennuie. Alors elle tricote pour ses amis.
Vampira fait un tour en voiture. À noter que Vampira avait toujours les fesses froides, d'où cette utilisation si particulière mais fort dangereuse de son automobile de manière fort naturelle et absolument ridicule.
Autre talent, Vampita buvait et fumait en même temps. Belle performance.
C'est pas tout ça mais Vampira a des choses à faire comme : faire peur, faire crier, faire trembler et faire le ménage car avec toutes ces araignées et ces chauve-souris, c'est dégueulasse chez elle. Alors tout Vampira qu'elle soit, vite fait, elle se carapate aux Carpates.
Et pour vous assurer que c'est bien mon blog ici, je vous rajoute un Jaïrzinho qui se prend pour Amara Simba, un Ancelotti qui se prend pour lui-même plus jeune, un Kevin en fort galante compagnie (et qui chopera forcément la donzelle en question car n'oubliez pas qu'à la fin, c'est toujours Kevin qui gagne), un Daniel Kenedy dit "Beaux Yeux" car ça faisait longtemps qu'on ne l'avait pas vu, trois Bordelais plein d'avenir et une Miss pleine de pas grand-chose, Socratès, regretté frère de Rai, capitaine lumineux de la Seleçao et un Andréa Pirlo qui, paraît-il me ressemble comme deux gouttes d'eau. Si ça pouvait être pareil avec nos comptes en banque, ce serait vraiment bien.
Si ça vous plaît pas, vous pouvez prendre la porte. Au choix.
Allez, sans transition, je vous propose une secrétaire du futur, un John Bonham de demain, un Bibendum pas Michelin, un ouvrier bluesman du Missouri par Alfred Eisenstaedt en 1937, un canoë volant et des poils bien poilants.
Je vous rajoute une truffe fort curieuse, un Carlin taquin et un Carlin Gerfeld, une Ekta raplapla, des os pour un museau, un bain trop bien, un câlin félin-canin et cinq mauvais présages pour terminer cette partie 50 millions d'Amis.
Il me reste un combat animé inanimé, un Mickey monoglobique, un rocher de haute volée (604 mètres exactement, à Brekestolen en Norvège), Lynyrd Skynyrd en 73 pour mon ami marocain David Bin Gharniouz qui s'exilera dès le 6 mai au soir, des petits rats ravissants, une Kat Dennings en formes et un Hopper qui aimerait bien l'avoir en mains.
Je vous rajoute également pour que ce soit vraiment le bordel un Muddy Waters en goguette, une fan en pleine extase, des monstres comme s'il en pleuvait, la vraie raison de la mort de Marilyn, un cosmonaute qui s'en fout mais alors bien comme il faut, deux... choses, une panthère pas encore cougar, un Jésus mal barré, un Batman bien allumé, un bouchon sur la route, un chicano pas commode et la toute dernière cravate créee par Alexander McQueen.
Et puis je vous mets un joli clair de lune. Triple, en plus. Non, c'est pour moi.
Et puis si vous n'êtes pas content(e)s, vous allez le payer Cash.
Ah, le petit Jason est attendu par sa maman en caisse 5. Le petit Jas...ah, le voilà. On est sauvés.
Et il est temps de passer à un peu d'art avec Jacques-Henri Lartigue. Jacques-Henri, les gens du blog. Les gens du blog, Jacques-Henri. Et une copine.
Un peu de Weegee de nuit car si le Weegee nuit peu de nuit, autant en profiter.
"Zéro", une sculpture de Lorenzo Nanni.
Quelques crânes (le n°3 et 4 pour être précis) de Markus Linnenbrink.
Un tableau de Matt Duffin : "I'm all ears".
Quelques esquisses typographiques japonisantes de Ryan Hagerman.
Et une sculpture en toute liberté de Filthy Luker qui me tient à cœur.
Et il est temps de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs qui véhiculent parfois des messages, parfois non, qui sont informatifs ou pas mais qui restent à votre disposition si vous n'omettez pas de dire que ça vient d'ici, si possible.
© Robert Crumb.
Et voilà, c'est terminé pour aujourd'hui mais n'oubliez pas avant de quitter le bordel de mettre mon petit cadeau sur la table basse, ce serait chou, ou alors d'utiliser le bouton "J'aime" ci-dessous pour partager ce bordel avec tous vos amies et vos amis en rajoutant une petite phrase bien sentie dans la case qui s'ouvre par magie pour tous les faire venir ici, de les inciter à le partager eux aussi, de Twitter ce Bordel sur toute la Twittosphère, de le Linkedinker, de l'envoyer par mail, par colis postal, par fax, de vous abonner si vous le souhaitez et de faire tout ceci si et seulement si vous l'avez apprécié. Sinon, non mais bon ce serait sympa malgré tout vu le temps que ça me prend (entre six et dix heures). Et vous pouvez aussi me laisser des commentaires auxquels je réponds personnellement mais ça, c'est parce que les petits Sri Lankais qui me font le bordel dans la cave confondent souvent infinitif et participe passé et ça m'énerve. Et pour les gloutons, il reste les articles de la semaine car Après La Pub, ce n'est pas que le vendredi et vous pouvez les "Liker" aussi avec Hit Marades #1 : Joël Bats et C'est dimanche, c'est Bukowski. qui a fait un vrai score de bordel (plus de 400 likes) et Hit Marades #2 : Johan Cruyff. qui a fait un peu moins et Le saviez-vous ? et Les Français et la Politique. et Lire, c'est voyager. Voyager, c'est lire. et sur ce, bon vendredi, bon bordel, bon week-end et à la semaine prochaine.
Retrouvez tous les Bordels du Vendredi depuis deux ans soit : C'est Vendredi, c'est le Bordel #1, C'est Vendredi, c'est le Bordel #2, C'est Vendredi, c'est le Bordel #3, C'est Vendredi, c'est le Bordel #4, C'est Vendredi, c'est le Bordel #5, C'est Vendredi, c'est le Bordel #6, C'est Vendredi, c'est le Bordel #7, C'est Vendredi, c'est le Bordel #8, C'est Vendredi, c'est le Bordel #9, C'est Vendredi, c'est le Bordel #10, C'est Vendredi, c'est le Bordel #11, C'est Vendredi, c'est le Bordel #12, C'est Vendredi, c'est le Bordel #13, C'est Vendredi, c'est le Bordel #14, C'est Vendredi, c'est le Bordel #15, C'est Vendredi, c'est le Bordel #16, C'est Vendredi, c'est le Bordel #17, C'est Vendredi, c'est le Bordel #18, C'est Vendredi, c'est le Bordel #19, C'est Vendredi, c'est le Bordel #20, C'est Vendredi, c'est le Bordel #21, C'est Vendredi, c'est le Bordel #22, C'est Vendredi, c'est le Bordel #23, C'est Vendredi, c'est le Bordel #24, C'est Vendredi, c'est le Bordel #25, C'est Vendredi, c'est le Bordel #26, C'est Vendredi, c'est le Bordel #27, C'est Vendredi, c'est le Bordel #28, C'est Vendredi, c'est le Bordel #29, C'est Vendredi, c'est le Bordel #30, C'est Vendredi, c'est le Bordel #31, C'est Vendredi, c'est le Bordel #32, C'est Vendredi, c'est le Bordel #33, C'est Vendredi, c'est le Bordel #34, C'est Vendredi, c'est le Bordel #35, C'est Vendredi, c'est le Bordel #36, C'est Vendredi, c'est le Bordel #37, C'est Vendredi, c'est le Bordel #38, C'est Vendredi, c'est le Bordel #39, C'est Vendredi, c'est le Bordel #40, C'est Vendredi, c'est le Bordel #41, C'est Vendredi, c'est le Bordel #42, C'est Vendredi, c'est le Bordel #43, C'est Vendredi, c'est le Bordel #44, C'est Vendredi, c'est le Bordel #45, C'est Vendredi, c'est le Bordel #46, C'est Vendredi, c'est le Bordel #47, C'est Vendredi, c'est le Bordel #48, C'est Vendredi, c'est le Bordel #49, C'est Vendredi, c'est le Bordel #50, C'est Vendredi, c'est le Bordel #51, C'est Vendredi, c'est le Bordel #52, C'est Vendredi, c'est le Bordel #53, C'est Vendredi, c'est le Bordel #54, C'est Vendredi, c'est le Bordel #55, C'est Vendredi, c'est le Bordel #56, C'est Vendredi, c'est le Bordel #57, C'est Vendredi, c'est le Bordel #58, C'est Vendredi, c'est le Bordel #59, C'est Vendredi, c'est le Bordel #60, C'est Vendredi, c'est le Bordel #61, C'est Vendredi, c'est le Bordel #62, C'est Vendredi, c'est le Bordel #63, C'est Vendredi, c'est le Bordel #64, C'est Vendredi, c'est le Bordel #65, C'est Vendredi, c'est le Bordel #66, C'est Vendredi, c'est le Bordel #67, C'est Vendredi, c'est le Bordel #68, C'est Vendredi, c'est le Bordel #69 (un bon cru), C'est Vendredi, c'est le Bordel #70, C'est Vendredi, c'est le Bordel #71, C'est Vendredi, c'est le Bordel #72, C'est Vendredi, c'est le Bordel #73, C'est Vendredi, c'est le Bordel #74, C'est Vendredi, c'est le Bordel #75, C'est Vendredi, c'est le Bordel #76, C'est Vendredi, c'est le Bordel #77, C'est Vendredi, c'est le Bordel #78, C'est Vendredi, c'est le Bordel #79, C'est Vendredi, c'est le Bordel #80, C'est Vendredi, c'est le Bordel #81, C'est Vendredi, c'est le Bordel #82, C'est Vendredi, c'est le Bordel #83, C'est Vendredi, c'est le Bordel #84, C'est Vendredi, c'est le Bordel #85, C'est Vendredi, c'est le Bordel #86, C'est Vendredi, c'est le Bordel #87, C'est Vendredi, c'est le Bordel #88, C'est Vendredi, c'est le Bordel #89, C'est Vendredi, c'est le Bordel #90, C'est Vendredi, c'est le Bordel #91, C'est Vendredi, c'est le Bordel #92, C'est Vendredi, c'est le Bordel #93, C'est Vendredi, c'est le Bordel #94, C'est Vendredi, c'est le Bordel #95, C'est Vendredi, c'est le Bordel #96, C'est Vendredi, c'est le Bordel #97, C'est Vendredi, c'est le Bordel #98, C'est Vendredi, c'est le Bordel #99, C'est Vendredi, c'est le Bordel #100, C'est Vendredi, c'est le Bordel #101, C'est Vendredi, c'est le Bordel #102, C'est Vendredi, c'est le Bordel #103, C'est Vendredi, c'est le Bordel #104, C'est Vendredi, c'est le Bordel #105, C'est Vendredi, c'est le Bordel #106, C'est Vendredi, c'est le Bordel #107, C'est Vendredi, c'est le Bordel #108, C'est Vendredi, c'est le Bordel #109, C'est Vendredi, c'est le Bordel #110, C'est Vendredi, c'est le Bordel #111 et C'est Vendredi, c'est le Bordel #112 ici dans Le Bordel du Vendredi.